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Baboucar Bop, Dg d’Agridev et president chambre commerce de Fatick , ou le retour d’un chaînon manqu

  • Photo du rédacteur: mendy yaye  fatou
    mendy yaye fatou
  • 3 avr. 2016
  • 2 min de lecture

Voilà un dont la présence au stand de la Fédération Nationale des Boulangers du Sénégal a été ardemment commentée avec à la clé, une interview, c’est bien Baboucar Bop, directeur général d’Agridev, une minoterie qui s’active dans la transformation des cereales locales (farine de maïs, de mil ). Une minoterie qui propose une farine composée avec les dosages requis et prête à l'emploi pour le boulanger. Il explique son retour sur le devant de la scène après plusieurs mois de réflexion et de réorganisation.

Situation géographique d’Agridev : « nous sommes à Fatick et nous œuvrons dans la transformation avec des minoteries basées à Fatick (farine de maïs, de mil et de blé) autrement dit, nous faisons toutes les formes de farines composées. Ces céréales locales sont mélangées avec la farine de blé.

Justification du retour en zone : « nous sommes un des maillons, un maillon essentiel car fournisseur principal de matières premières à base de farine de bonne qualité et à bon prix.

Nouveautés avec le retour : « ce que nous proposons aux populations, c’est de la farine composée et prête à l’emploi sachant que le dosage se fait sur place à l’usine. La nouveauté avec notre retour, ce sera la disponibilité de la farine de blé, de mil ou de maïs, la qualité de celle-ci et le prix proposé. Il s’agit du problème crucial dans le cadre de l’incorporation des céréales locales dans la panification. »

Avis sur le pain présenté à la Fiara : « il est bon et nous sommes en train de nous substituer à l’Etat dont la mission régalienne est d’aider les populations à manger du pain de meilleure qualité au regard des exigences de santé publique. Nous essayons donc de donner cela aux populations à un prix raisonnable et compétitif. En agissant ainsi, on offre plus de débouchés aux matières premières surtout dans le domaine de la transformation agro-industrielle. »

Bilan d’étape : « il doit être fait périodiquement c'est-à-dire tous les trimestres au moins, cela permettra aux uns et autres de rectifier le tir. De plus, nous avons l’appui de l’Etat via le Fnraa, nous n’avons plus d’alibis encore moins de prétextes pour réussir notre pari ; tout le reste relève de nos efforts personnels. »

Ibrahima Diop


 
 
 

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